Qui suis-je ?

« Ma passion pour les forces inconscientes qui nous animent est insatiable »

Mon parcours

Si mon accident a été un événement majeur, ma vie ne se résume évidemment pas qu’à cela. Certes, il a donné une autre direction à ma vie. J’étais parti pour le commercial, je me suis retrouvé à écrire des romans, puis à enseigner. La seule chose qui n’a pas changé, c’est ma curiosité et ma soif d’apprendre et de comprendre. Pendant toutes ces années, j’ai dévoré des romans, des livres d’histoire, et tout ce qui touche de près ou de loin à la guérison. Et donc à l’inconscient. Cet inconscient qu’on subit et qui, pourtant, est notre ressource la plus puissante. Ce paradoxe me fascine depuis toujours.

Il faudra une deuxième crise majeure pour bifurquer à nouveau. Cette fois, ce sont des relations conflictuelles, une blessure sentimentale et une insatisfaction professionnelle qui fragilisent ma santé et me rendent la vie insupportable.

J’ai besoin de changer. Radicalement. Autrement dit : Devenir moi-même.

C’est alors que ma route croise celle de la Communication Non Violente (CNV). Souvent mal comprise, la CNV ne se limite pas à la bienveillance. Loin de là. C’est une approche qui permet de mieux se connaître et de mieux gérer ses émotions. Cette approche a été révolutionnaire pour moi. Chaque jour, je pratique la CNV et suis heureux de connaître cette façon de communiquer et d’être au monde. Au fond, je pratique la CNV comme on se brosse les dents. Une question d’hygiène mentale. Il s’agit d’une communication consciente, où l’on sort des automatismes. Ses détracteurs vous diront qu’il suffit de chasser le naturel pour qu’il revienne au galop. Thomas D’Ansembourg leur répondra avec cette jolie formule : « Il ne s’agit de pas du naturel, mais de l’habituel. »

Presque au même moment, je découvre The Work de Byron Katie (Le Travail) qui est une technique de remise en question des croyances limitantes et des pensées qui traversent notre esprit malgré notre volonté. L’idée n’est pas de contrôler ses pensées, mais de questionner leur validité.

En parallèle, je pratique le BreathWork, une technique de respiration intensive. Je suis des formations en Suisse mais aussi dans le cadre de la Méthode Wim Hof, où s’ajoute l’immersion en eau glacée et la notion d’engagement. Le changement survient lorsqu’on s’engage avec tout notre être, sans hésitation, avec détermination.

Je pratique de nombreux jeûnes et essaie un tas de médecines alternatives, et presque autant de formations. Notamment celle de Christian Junod « Ce que l’argent dit de vous », une formation qui explore notre rapport à l’argent. Fascinant ! Je découvre les cercles du Pardon, une pratique initiée par Olivier Clerc, le traducteur des Accords Toltèques. Concernant le Pardon, j’apprécie énormément l’approche que Colin Tipping développe dans son livre : « Le Pardon radical ». Ce n’est pas la même approche, mais elle me parle davantage. À noter que le Pardon dont je parle ici n’est pas celui que l’on retrouve dans les religions.

Le coaching et l’hypnose Ericksonienne viennent compléter ce tableau et y donner du sens, de l’épaisseur. Sans oublier la Maïeusthésie, une approche que je qualifierais d’essentielle.

Toutes ces approches, dont je mets ci-dessous une brève bibliographie où vous pourrez piocher ce qui résonne chez vous, m’ont éclairé et aidé à prendre conscience de mes parties inconscientes. Autrement dit, je suis plus conscient aujourd’hui que je ne l’étais avant, par conséquent, j’ai changé : Je suis devenu davantage moi-même.

Si j’ai beaucoup voyagé dans ma jeunesse, je suis aujourd’hui plus enclin à plonger dans un lac glacé ou à faire une randonnée dans les Alpes pour me connecter à moi-même et à la nature plutôt que de m’envoler vers une destination à l’autre bout du monde. Cela dit, j’ai encore besoin de temps à autre de me plonger dans un monde qui n’est pas le mien, où l’on parle une autre langue, on pense différemment et où les odeurs, les couleurs et les bruits sont différents. Je suis curieux. La curiosité est mon oxygène, elle est sans limite.

Et puis je fais beaucoup de sport, randonnées, jogging, vélo de route, Paddle sur le lac, natation, tennis, Pilates, stretching, et ce qu’il y a de plus simple : la marche. Le mouvement est pour moi une condition essentielle à mon équilibre psychique et physique. La vie c’est le mouvement, et le mouvement c’est la vie. Une épaule blessée, il faut la mobiliser, la bouger, l’utiliser. Un mental figé, il faut le bouger, le mettre en mouvement. Un cerveau souple est un cerveau efficace, qui s’adapte aux situations et nous permet de relever les défis de la vie. La force de l’hypnose, c’est de favoriser la plasticité neuronale.

J’aime cette phrase de Friedrich Nietzsche : « On voit à la démarche de chacun s’il a trouvé sa route, l’homme qui s’approche du but ne marche plus, il danse. »

Ma philosophie

Contrairement à Freud, pour qui l’inconscient serait un coffre fermé à double tour au 3^e sous-sol d’une cave humide où l’on aurait déposé toutes nos parties refoulées, je crois que l’inconscient est un réservoir de connaissances extraordinaire où nous pouvons puiser tout ce dont nous avons besoin.

L’hypnose, comme le coaching dans une moindre mesure, facilite l’accès à ce réservoir. Milton Erickson disait « Vous savez inconsciemment tellement plus que ce que vous savez savoir consciemment. »

Les personnes intuitives font confiance à leur inconscient. L’humain est profondément intuitif. Nous sommes des êtres intuitifs. Certains ont simplement davantage développé cette intelligence-là. Mais l’intuition n’est pas quelque chose que l’on a ou pas. Elle fait partie de notre physiologie, de notre humanité. La développer, c’est améliorer notre confiance et notre estime, c’est favoriser notre épanouissement. Savoir écouter son intuition et la respecter, c’est être en accord avec son être profond. Autrement dit, lorsque mes actions sont alignées avec mes paroles, mes pensées et mes sentiments, je me réalise pleinement.

Ma mission

Je vous accompagne sur le chemin de votre transformation. Certaines personnes ont peur de changer et hésitent à consulter ou à entreprendre une thérapie quelle qu’elle soit car elles craignent de s’éloigner d’elle, de se perdre. Je ne crois pas qu’on change. Du moins pas vraiment. Certes, on a l’impression de changer et les gens autour de nous se disent que nous avons changé, mais au fond nous n’avons fait que nous rapprocher de qui nous sommes. Changer, c’est devenir soi-même.

Mes approches vont stimuler vos prises de consciences qui, à leur tour, vous donneront envie de mieux vous connaître et donc de vous rapprocher de qui vous êtes.

Je vous accompagne avec empathie et bienveillance sur votre chemin où les prises de conscience vous transformerons pour le meilleur.

Petite bibliographie sélective des livres qui m’ont marqué

« Cessez d’être gentil, soyez vrai ! » (être avec les autres en restant soi-même), Thomas D’Ansembourg

« Aimer ce qui est » de Byron Katie, édition Synchronique

« L’écoute thérapeutique » de Thierry Tournebise, éditions ESF Sciences humaines (l’art de la maïeusthésie)

« Le Pouvoir du Pardon Radical » de Colin Tipping, éditions Trédaniel

« De l’entretien à la solution » de Peter de Jong et Insoo Kim Berg, édition Le Germe

« L’Hypnose, une réinitialisation de nos cinq sens » Gaston Brosseau, 3^e édition, éd. Interéditions

« Métaphores » d’Olivier Lockert, IFHE Éditions

« Enfin libre d’être soi-même » de Christian Junod et Evelyne Faniel, éditions Jouvence

« Le chemin le moins fréquenté » de Scott Peck, éditions Aventure Secrète

« Jung, un voyage vers soi » de Frédéric Lenoir, éditions Albin Michel

« Ma vie » de C. G. Jung, édition Folio

« Quand le corps dit non (le stress qui tue) » de Dr Gabor Maté, Les Éditions de l’Homme

« Docteur Vous » de Jemery Howick, Les Éditions de l’Homme

« Les Pouvoirs de l’Esprit sur le Corps » de Patrick Clervoy, éditions Odile Jacob

« La confiance en soi, (une philosophie) » de Charles Pépin, éditions Pocket

« Les Vertus de l’Échec » de Charles Pépin, éditions Pocket

Et j’ajoute Irvin Yalom.Écrivain et psychiatre existentiel (entre autres) qui a écrit trois chefs-d’œuvre, des romans qu’on ne lâche pas, qui parlent de thérapie, de philosophie, d’histoire, et surtout de la vie :

« La Méthode Schopenhauer »

« Et Nietzsche a pleuré »

« Le problème Spinoza »